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03.02.2022
Au bout du suspens, l'e-Trophée Andros de cette année s'est joué à quelques seocndes près entre les leaders Jean-Baptiste Dubourg et Yann Ehrlacher, à égalité de points à la fin de la session lors de la dernière course de la saison, à Super-Besse. Dubourg a finalement pris la tête car il a remporté le plus grand nombre de victoires cumulée durant l'année. Nous avons pu discuter avec le sextuple champion lors de son retour au stand.
Je me sens bien. C'est incroyable. Quelle saison et quelle finale. Plus tôt dans la saison, je pensais que nous avions perdu le trophée. Nous n'étions pas au top et nous devions retrouver la performance. Nous avons décidé de faire une séance d'essai et c'était une très bonne idée. Après cela, nous avons remporté les deux dernières courses et nous étions de retour dans le match pour la victoire finale?
La Superpole était difficile. Et je me sentais si mal. A cause d'un dixième de seconde ou quelque chose comme ça, j'ai cru que j'avais perdu le trophée et j'ai été très déçu. Mais la course n'est jamais terminée tant que vous n'avez pas franchi la ligne d'arrivée !
La clé de la finale a été le départ. Je n'étais pas en bonne position. Mais mon départ était bon. Après ça, mon spotter m'a dit que Pierre-Louis Loubet avait fait le tour le plus rapide et après ça, j'ai su que je devais finir juste derrière Yann Ehrlacher pour gagner le championnat.
Il est peut-être nouveau au Trophée Andros, mais il est double champion du monde et il a un mental très fort. Avec son équipe et son expérience du Trophée Andros, un jour il pourrait gagner.
C'est évidemment toujours très agréable de battre un double champion du monde [rires].
Je ne peux pas vous dire ce que nous faisons, mais nous avons appliqué un peu plus d'équilibre à la voiture et de petits détails qui ont fait une grande différence au final. La voiture était plus facile à conduire et avait plus de performances.
Ce n'était pas avantageux d'avoir autant de poids supplémentaire dans la voiture. Sur cette piste, le ballast est sur le côté gauche et les virages de la voie sont à 90 % sur la droite. Mais je ne pense pas à ça. Je veux juste rouler vite.
Je ne suis pas encore sûr. Je vais profiter de ce sixième titre. C'est un moment très spécial et nous verrons plus tard ce que nous pouvons faire. Nous discutons avec Renault pour en faire plus !
